mercredi 31 mars 2021

Le Ganymède du jardin botanique de Munich

Ganymède — photo © Luc-Henri Roger

Rencontre inattendue dans le beau jardin botanique de Munich . Au détour d'une allée que je n'avais jamais empruntée, j'ai rencontré Ganymède et son aigle.  Un jeune homme habillé à l'antique qui tient une cruche à la main gauche et une grappe dans l'autre main. La sculpture n'est pas signée ni dénommée. Que ce soit Ganymède est une supposition et une probabilité: l'échanson des dieux fut enlevé par Zeus qui avait pris la forme d'un aigle pour s'emparer de l'enfant royal et l'emmener au panthéon où il devait servir le nectar à l'assemblée des dieux et des déesses. Notre statue en a les attributs, gageons qu'il s'agit de Ganymède !

Un peu de recherches sur la toile a confirmé mon intuition. La statue est due au talent du Bavarois Josef Wackerle (Garmisch 1880-1959) qui réalisa plusieurs majoliques pour le jardin botanique de Munich, dont aussi une statue de Hébé, la déesse de la jeunesse, qui précéda Ganymède en tant qu'échanson des dieux. Le talent de Wackerle fut reconnu très tôt: à 26 ans il était déjà directeur artistique de la prestigieuse manufacture de porcelaine de Nymphenburg.

Ganymède et Hébé — Joseph Wacherle







Napoléon Ier fait son grand retour à Munich.




© des photos : Luc-Henri Roger 2021

C'est grâce à Napoléon Ier que la Bavière fut un royaume et qu'aujourd'hui encore le chef de la maison des Wittelsbacher se voit gratifié du titre d'Altesse Royale. Napoléon, accompagné de Joséphine, avait séjourné à Munich à l'occasion des cérémonies solennelles du 1er janvier 1806 organisées pour sceller la transformation de l’Électorat en royaume. Quelques jours plus tard, les 13 et 14 janvier, c’est en grande pompe également qu’est célébré le mariage d’Eugène de Beauharnais, beau-fils de Napoléon et vice-roi d’Italie, avec la fille du roi de Bavière, Augusta Amalia.

Aujourd'hui l'Empereur est revenu séjourner pour quelque temps à Munich, ou du moins son magnifique buste de marbre que réalisa le sculpteur danois Bertel Thorvaldsen et qui est exposé à la Glyptothèque dans le cadre de l'exposition Bertel Throvaldsen und Ludwig I. qui peut se visiter jusqu'au 25 juillet 2021. (Réservation obligatoire, l'ouverture du musée dépend bien sûr de l'évolution des mesures de contrôle de la pandémie).

Ce buste monumental a été exécuté dix ans à peine après la mort de Napoléon. Le buste a été commandé au printemps 1829 par l'un des nombreux admirateurs de Napoléon de l'époque, le propriétaire terrien et homme politique écossais Alexander Murray de Broughton. Murray souhaitait que le buste corresponde à la manière dont les empereurs romains avaient été représentés. Il devait donner l'impression que Napoléon était élevé sur les ailes d'un aigle jusqu'à l'Olympe, la demeure des dieux et demi-dieux antiques. La couronne de laurier et le bouclier sont des attributs du pouvoir. Le buste fut livré en 1830.

À la Glyptothèque, le Napoléon de Thorvaldsen est comme il se doit présenté dans la section romaine. Le glorieux Empereur français est comme il se doit entouré d'empereurs romaines et de nobles dames. 

Bonne visite !

mardi 30 mars 2021

Simmeringer Haide — L'empereur François-Joseph félicitant l'aviateur Blériot.




En 1909, le premier aérodrome viennois a été ouvert sur la Simmeringer Haide. C'est là, entre autres, que, le 23 octobre 1909,  le pilote français Louis Blériot a fait des démonstrations devant 300 000 spectateurs, dont l'empereur François-Joseph Ier.




lundi 29 mars 2021

Chapelle ardente de la dépouille mortuaire de l'archiduc Rodolphe.

 


D'après la légende de ce dessin de Karl Trill pour le magazine Über Land und Meer, la chapelle ardente de l'archiduc aurait été aménagée dans la chambre à coucher de l'empereur François. 

Rodolphe. Les textes de Mayerling.

Les diverses versions du drame de Mayerling sont présentées dans le recueil  Rodolphe. Les textes de Mayerling (BoD, 2020).

Voici le texte de présentation du recueil  (quatrième de couverture):

   Suicide, meurtre ou complot ? Depuis plus de 130 années, le drame de Mayerling fascine et enflamme les imaginations, et a fait couler beaucoup d'encre. C'est un peu de cette encre que nous avons orpaillée ici dans les fleuves de la mémoire : des textes pour la plupart oubliés qui présentent différentes interprétations d'une tragédie sur laquelle, malgré les annonces répétées d'une vérité historique définitive, continue de planer le doute.
   Comment s'est constituée la légende de Mayerling? Les points de vue et les arguments s'affrontent dans ces récits qui relèvent de différents genres littéraires : souvenirs de princesses appartenant au premier cercle impérial, dialogue politique, roman historique, roman d'espionnage, articles de presse, tous ces textes ont contribué à la constitution d'une des grandes énigmes de l'histoire.

Le recueil réunit des récits publiés entre 1889 et 1932 sur le drame de Mayerling, dont voici les dates et les auteurs :

1889 Les articles du Figaro
1899 Princesse Odescalchi
1900 Arthur Savaète
1902 Adolphe Aderer
1905 Henri de Weindel
1910 Jean de Bonnefon
1916 Augustin Marguillier
1917 Henry Ferrare
1921 Princesse Louise de Belgique
1922 Dr Augustin Cabanès
1930 Gabriel Bernard
1932 Princesse Nora Fugger

Le dernier récit, celui de la princesse Fugger, amie de la soeur de Mary Vetsera, est pour la première fois publié en traduction française. Il n'était jusqu'ici accessible qu'en allemand et en traduction anglaise.

Luc-Henri Roger, Rodolphe. Les textes de Mayerling, BoD, 2020. En version papier ou ebook.

Commande en ligne chez l'éditeur, sur des sites comme la Fnac, le Furet du nord, Decitre, Amazon, etc. ou via votre libraire (ISBN 978-2-322-24137-8)


dimanche 28 mars 2021

Canal de Suez — Le souper des souverains en 1869 à Ismaïlia (الإسماعيلية)

 

Le 17 novembre 1869, le canal est inauguré par l’impératrice Eugénie dont le navire est suivi de 77 navires de nations maritimes.  
Un souper avait été offert aux souverains qui avaient fait le voyage pour assister aux cérémonies de l'ouverture. Riou, le peintre de son Altesse le Khédive, avait saisi cet événement dans une aquarelle, qui fut ensuite lithographiée pour l'ouvrage de G. Nicole intitulé Voyage des souverains : inauguration du canal de Suez (Paris, vers 1870). Voici la courte description que donne G. Nicole de ce souper :

LE SOUPER OFFERT AUX SOUVERAINS

Une vaste salle décorée de draperies, de feuillage et de plantes exotiques reçoit les augustes convives.
L’Impératrice prend place à table entre l’empereur d’Autriche et le prince royal de Prusse, en face du khédive et de la princesse des Pays-Bas.
A droite de l’empereur d’Autriche se placent l’ambassadrice d’Angleterre, l’ambassadeur de Russie , M. Davilliers , Mlle Lermina.
A gauche du prince de Prusse sont l’ambassadrice de Russie, l’ambassadeur d’Angleterre, le prince de Hohenlohe.
A droite de la princesse des Pays-Bas sont le prince Murat, Mme de Nadaillac, M. de Beust, Mme de Parabere, M. Andrassy.
A gauche du khédive, le prince des Pays-Bas, Mme de la Poëze, M. de Lesseps.

Détail : François-Joseph, l'impératrice Eugénie
et le prince royal de Prusse



samedi 27 mars 2021

Drame de Mayerling — La famille impériale au chevet du défunt archiduc Rodolphe


Un dessin de Theodor Breidwiser pour le magazine Über Land und Meer
Février 1889

Theodor Breitwieser, aussi Breidwiser ou Breidwieser (1847-1930). Peintre de genre autrichien.

Rodolphe. Les textes de Mayerling.

Les diverses versions du drame de Mayerling sont présentées dans le recueil  Rodolphe. Les textes de Mayerling (BoD, 2020).

Voici le texte de présentation du recueil  (quatrième de couverture):

   Suicide, meurtre ou complot ? Depuis plus de 130 années, le drame de Mayerling fascine et enflamme les imaginations, et a fait couler beaucoup d'encre. C'est un peu de cette encre que nous avons orpaillée ici dans les fleuves de la mémoire : des textes pour la plupart oubliés qui présentent différentes interprétations d'une tragédie sur laquelle, malgré les annonces répétées d'une vérité historique définitive, continue de planer le doute.
   Comment s'est constituée la légende de Mayerling? Les points de vue et les arguments s'affrontent dans ces récits qui relèvent de différents genres littéraires : souvenirs de princesses appartenant au premier cercle impérial, dialogue politique, roman historique, roman d'espionnage, articles de presse, tous ces textes ont contribué à la constitution d'une des grandes énigmes de l'histoire.

Le recueil réunit des récits publiés entre 1889 et 1932 sur le drame de Mayerling, dont voici les dates et les auteurs :

1889 Les articles du Figaro
1899 Princesse Odescalchi
1900 Arthur Savaète
1902 Adolphe Aderer
1905 Henri de Weindel
1910 Jean de Bonnefon
1916 Augustin Marguillier
1917 Henry Ferrare
1921 Princesse Louise de Belgique
1922 Dr Augustin Cabanès
1930 Gabriel Bernard
1932 Princesse Nora Fugger

Le dernier récit, celui de la princesse Fugger, amie de la soeur de Mary Vetsera, est pour la première fois publié en traduction française. Il n'était jusqu'ici accessible qu'en allemand et en traduction anglaise.

Luc-Henri Roger, Rodolphe. Les textes de Mayerling, BoD, 2020. En version papier ou ebook.

Commande en ligne chez l'éditeur, sur des sites comme la Fnac, le Furet du nord, Decitre, Amazon, etc. ou via votre libraire (ISBN 978-2-322-24137-8)


vendredi 26 mars 2021

Drame de Mayerling — Le transport du corps de l'archiduc héritier Rodolphe de la gare de Vienne à la Hofburg — Dessins de Karl Trill.


Dessins de Karl Trill pour le magazine Über Land und Meer (février 1889). 
Le second dessin représente l'attroupement  populaire devant le Schweizerhof de la Hofburg.
 

Rodolphe. Les textes de Mayerling.

Les diverses versions du drame de Mayerling sont présentées dans le recueil  Rodolphe. Les textes de Mayerling (BoD, 2020).

Voici le texte de présentation du recueil  (quatrième de couverture):

   Suicide, meurtre ou complot ? Depuis plus de 130 années, le drame de Mayerling fascine et enflamme les imaginations, et a fait couler beaucoup d'encre. C'est un peu de cette encre que nous avons orpaillée ici dans les fleuves de la mémoire : des textes pour la plupart oubliés qui présentent différentes interprétations d'une tragédie sur laquelle, malgré les annonces répétées d'une vérité historique définitive, continue de planer le doute.
   Comment s'est constituée la légende de Mayerling? Les points de vue et les arguments s'affrontent dans ces récits qui relèvent de différents genres littéraires : souvenirs de princesses appartenant au premier cercle impérial, dialogue politique, roman historique, roman d'espionnage, articles de presse, tous ces textes ont contribué à la constitution d'une des grandes énigmes de l'histoire.

Le recueil réunit des récits publiés entre 1889 et 1932 sur le drame de Mayerling, dont voici les dates et les auteurs :

1889 Les articles du Figaro
1899 Princesse Odescalchi
1900 Arthur Savaète
1902 Adolphe Aderer
1905 Henri de Weindel
1910 Jean de Bonnefon
1916 Augustin Marguillier
1917 Henry Ferrare
1921 Princesse Louise de Belgique
1922 Dr Augustin Cabanès
1930 Gabriel Bernard
1932 Princesse Nora Fugger

Le dernier récit, celui de la princesse Fugger, amie de la soeur de Mary Vetsera, est pour la première fois publié en traduction française. Il n'était jusqu'ici accessible qu'en allemand et en traduction anglaise.

Luc-Henri Roger, Rodolphe. Les textes de Mayerling, BoD, 2020. En version papier ou ebook.

Commande en ligne chez l'éditeur, sur des sites comme la Fnac, le Furet du nord, Decitre, Amazon, etc. ou via votre libraire (ISBN 978-2-322-24137-8)


Prise de rôle : Walpurga Malwinger interprète l'Elisabeth du Tannhäuser pour le seul roi Louis II

Mathilde Mallinger, qui interprétait Elisabeth à Munich en 1867, servit 
sans doute de modèle pour le personnage de Walpurga Malwinger.

Extrait de La pupille du roi Louis II de Bavière, le roman historique ludwigo-wagnérien d'Hedwig Courths-Mahler

Le roi Louis II a financé les études musicales de la jeune Walpurga Malwinger, des études supervisées par Richard Wagner. Avant de faire ses débuts à l'opéra de Munich, le roi a souhaité que la jeune fille se produise dans trois représentations privées, les fameuses Separatvorstellungen, dont il est l'unique spectateur. Voici l'extrait :

[...] Enfin arriva la soirée tant attendue.
    Tout en se préparant dans sa loge, Walpurga avait conscience de la solennité du moment. Le roi lui-même avait fait confectionner ses costumes en donnant des indications précises.
    Elle avait grand air quand, libérée des mains de son habilleuse, elle se tint devant le haut miroir. Elle se rappela alors que le jour de son arrivée à l'institut de la doctoresse Moritz, elle portait une jupe rouge et des gros souliers à clous et tenait à la main son baluchon de linge.
    Cette jeune femme à l’apparence royale avec sa robe au tissu fluide et soyeux ornée de broderies et de pierres brillantes était-elle la même que la petite Burgerl d’alors ?
    En vérité, la belle Walpurga était une Elisabeth idéale. Ses merveilleux cheveux bouclés, sur lesquels était posé un diadème, recouvraient son dos de leur splendeur dorée et mêlaient des reflets métalliques aux chatoiements de la lumière. Sa robe de soie blanche était retenue à la taille par une ceinture cloutée de pierres précieuses, dont les extrémités retombaient jusqu’à l’ourlet.
    Un long manteau de velours bleu roi, bordé d'un large liseré en broderie, pendait majestueusement sur ses épaules. Sa lourde traîne rendait la progression difficile, mais Walpurga s’y était bien exercée et c’est tout en souplesse et avec un port princier qu’elle évoluait en scène.
    La voici à présent qui attend derrière la coulisse dont elle doit émerger.
    La scène du Hörselberg était terminée depuis longtemps, le berger avait chanté sa belle chanson. Wolfram von Eschenbach avait accueilli son ami Heinrich von Ofterdingen, le Tannhäuser que l'on croyait perdu, et le rideau était tombé.
    Walpurga attendait maintenant son signal. Le rideau se leva de nouveau. Elle brûlait d'une fiévreuse impatience. Et enfin, enfin, elle fut autorisée à monter sur scène.
    Comme autrefois dans la forêt, elle entonna joyeusement le premier air d’Elisabeth :
        Salut à toi, belle demeure

    Aux premiers sons qui sortirent de sa gorge, elle eut l’impression qu’une main froide serrait son cou, comme si sa voix avait perdu toute chaleur.
    C’est alors qu'elle aperçut le visage souriant et bienveillant du roi comme au travers de nuages. Et soudain, elle put se débarrasser de toute peur, de tout embarras et aligner des tons pleins et clairs d'une beauté ravissante. Elle interpréta son rôle avec une merveilleuse assurance et une parfaite maîtrise de son art. C’était d’une beauté magique.
    Elle chantait avec ferveur, comme si elle déposait son cœur aux pieds de son roi bien-aimé.
    Les scènes se succédaient et le roi Louis, seul spectateur de ce merveilleux opéra, se laissait emporter par les cadences magiques qui le remplissaient d'une joie de vivre qu’il n'avait pas ressentie depuis longtemps.
    La puissance du chant de Walpurga était telle qu’elle pouvait redonner la santé aux malades et la jeunesse aux personnes âgées. La prophétie de son vieux professeur à l'école se voyait réalisée.
    Le roi était complètement captivé par le jeu et le chant de Walpurga. Il avait oublié que c'était Walpurga Malwinger, son petit oiseau de la forêt, qui se trouvait sur scène, il ne voyait plus que la grâcieuse figure d'Elisabeth, la nièce du landgrave, que son amour torturait et que sa fidélité conduirait à la mort.
   Ce personnage touchant créé par son ami Richard Wagner ne l'avait jamais autant captivé qu'aujourd'hui. Walpurga s'était quant à elle complètement identifiée à son rôle, elle faisait plus que jouer Elisabeth, elle la faisait revivre.
    Elle quitta la scène comme si elle se réveillait d'un long rêve dans lequel elle aurait gravi lentement une côte. Elle entendit encore s’élever la romance à l’étoile de Wolfram von Eschenbach.    
    Immédiatement après, elle fut mandée par le roi, dont les yeux brillaient encore des larmes qu’il avait versées. Il la reçut dans une grande exaltation. Il saisit les mains de Walpurga et la regarda en silence pendant un long moment.
    Elle portait toujours la robe blanche d'Elisabeth au dernier acte et avait encore les cheveux relâchés sur ses épaules. Elle était merveilleusement belle avec son visage animé dont les yeux questionnaient le roi avec anxiété. [...]

Envie d'en savoir plus sur la protégée du roi Louis II ? Je vous invite à vous plonger dans ma traduction du roman de Courths-Mahler, qui vient de paraître :

La pupille du roi Louis II de Bavière

de Hedwig Courths-Mahler

disponible en version papier ou en Ebook, 

via la FNAC, Amazon, Decitre, le Furet du nord, Hugendubel, etc.


ISBN : 9782322230464

C'est en 1911 que Hedwig Courths-Mahler publia son roman sentimental historique König Ludwig und sein Schützling (« La pupille du roi Louis II de Bavière ») sous le pseudonyme d'Hedwig Brand. 110 ans après sa publication ce roman wagnérien est enfin traduit en français.


La protégée du roi est l'enfant d'un couple de forestiers vivant au coeur d'une forêt proche du château de Hohenschwangau. Au hasard d'une rencontre, le roi se lie d'amitié avec la petite fille au point de vouloir lui assurer la meilleure des formations scolaires possible. La petite fille, Walpurga Malwinger, dite Burgerl, est douée pour la musique et le chant et le roi favorise sa formation musicale. L'enfant grandit et devient une ravissante jeune fille. Un jour le hasard veut que Richard Wagner l'entende chanter et tombe immédiatement sous le charme de sa voix merveilleuse...

Un conte initiatique qui devrait ravir les amis de Louis II et de Richard Wagner.

Pour lire un extrait et/ou commander le livre, cliquer sur https://www.bod.fr/librairie/la-pupille-du-roi-louis-ii-de-baviere-hedwig-courths-mahler-9782322230464









La Sylphide dans la version de Pierre Lacotte au Ballet d'État de Bavière — Quatrième partie

Maria Taglioni (1804-84) in  La Sylphide, Souvenir d'Adieu  (6 lithographies d'Alfred-Édouard Chalon, 1845) Nous poursuivons notre e...